Nous avons la profonde tristesse de faire part du décès de
Monsieur Jean Pierre Ganachau, survenu dans l’après midi du 28 décembre 2024 à l’âge de 82 ans.
Notre ami, hospitalisé depuis mi-octobre était atteint d’une longue maladie, il a malheureusement beaucoup souffert sur la fin.
Nous garderons de lui le souvenir ému d’un super camarade , d’un être humain extrêmement sensible, très cultivé, très bon ingénieur , drôle souvent, très gentil, et bon cuisinier.
Il vous est possible aussi de laisser un témoignage en cliquant sur « nous contacter ».
Le Bureau présente ses condoléances à Muriel et à sa fille Laura, au nom de tous les adhérents.
La cérémonie de crémation aura lieu le vendredi 10 janvier à 14 h au crématorium des Mureaux (52 rue de la Nouvelle France).
Le Bureau
les témoignages :
Jean Pierre restera pour moi un exemple de gentillesse, d’écoute et de capacité à aider. Il est associé aux belles années de Paris Normandie. Quelle tristesse.
Marc Brucy
Toute nos Sincères Condoléances à la Famille; pendant plus de 30 ans j’avais de très bonnes relations avec Jean Pierre, je garde de très bons souvenirs de lui, des chantiers où il avait trouvé la meilleure solution. Adieu et repose en Paix.
Joseph Dietsch
Jean Pierre c’est pour moi mes premières années à Paris Normandie, il partageait le bureau de Claude Hovart, et j’aimais beaucoup partager des moments avec eux…Jean Pierre, c’est également le cake du lundi qu’il partageait toujours avec une histoire qui nous mettait de bonne humeur pour la semaine…
Un de ces derniers textes que j’ai toujours en mémoire, » on ne dit pas le PDG a une gueule de gitan, mais Lamoure est enfant de bohème ».
Repose en paix mon JP mais surtout n’utilise pas le téléphone de Saint Pierre pour nous appeler, la note serait salée, on pense tous bien à toi…
Jean Marie Nicoletti
Nous garderons de lui le souvenir ému d’un super camarade , d’un être humain extrêmement sensible, très cultivé, très bon ingénieur , drôle souvent . D’une sensibilité exacerbée. Il venait régulièrement chez nous à Conches parler de nos très nombreux souvenirs communs (depuis 35 ans !) et les amis communs se souviennent de lui comme d’un camarade drôle, extrêmement gentil , bon cuisinier (il nous avait souvent régalé de sa cuisine , qu’il aimait faire).
Je joints quelques photos de Jean Pierre avec ses Amis réunis , qu’il aimait régaler de sa bonne cuisine, et qui animait nos agapes de ses bons jeux de mots originaux.
Je suis moi même très triste ce soir quand j’évoque son décès , malheureusement prévisible et inéluctable au vu des épisodes de ces trois dernières semaines. Mes tendres pensées à Muriel et Laura.
Jean Bernard Wittner
Nous nous sommes souvent croisés à Paris Normandie. J’ai toujours apprécié sa justesse des coûts, sa technicité, son humour, sa gentillesse, son calme, sa perspicacité et bien d’autres choses…
Repose en paix et mes condoléances à sa famille.
Bertrand Steff
À oui, c’est vraiment triste. Que de souvenirs à Paris Normandie dans le bureau où Claude et Jean-Pierre se faisaient face. Mes condoléances à la famille.
Bertrand Barrois
Une bien triste fin en effet pour cette année 2024, qui ne nous avait pourtant déjà pas gâtés jusque-là…
Jean-Pierre reste pour moi une des figures emblématiques de la maison Solétanche et de l’agence Nord et Ouest, et demeure associé dans ma mémoire aux différentes étapes de ma propre carrière : déjà comme ingénieur d’affaires, car il est je crois bien le premier avec qui j’aurai eu le plaisir de travailler dès mon arrivée au BE en 1977, comme gourou de l’étude de prix, exercice difficile dont il était le maître et auquel il aura accepté la mission, quasi insurmontable, de m’initier moi-même à l’occasion de mon passage à Paris Normandie, plus tard en tant qu’expert, puisque nous nous étions revus encore au Caire à l’occasion du démarrage des chantiers du métro, et enfin d’une façon générale comme collègue convivial, à la fois compétent et toujours optimiste, toujours de bonne humeur, et maîtrisant aussi bien le calembour que l’étude du rendement.
Merci encore Jean-Pierre pour tous ces bon souvenirs que tu nous a laissés.
Pierre Schmitt
Je n’ai pas eu souvent l’occasion de travailler avec Jean-Pierre Ganachau, mais les quelques occasions et aussi les multiples rencontres au siège en particulier m’ont laissé le souvenir de sa gentillesse, de son humour, et de son sourire.
C’est si important un sourire. Beaucoup de tristesse donc, et mes condoléances à sa famille.
Amicalement,
Louis Herry
Encore une connaissance qui part… Quelle tristesse…
Didier Nugerman
C’est vraiment triste. Au moment des fêtes ! C’est traumatisant.
Sinceres condoléances.
Denise Pauget
L’autre jour, à notre déjeuner annuel, Jean-Bernard nous avait fait part de son inquiétude (le mot est faible) pour la santé de Jean-Pierre. A travers ce qu’il nous écrit, je comprends que sa mort fut pour lui une délivrance et que ses derniers jours, semaines, mois, ont été très difficiles. Je ressens un très grand sentiment d’injustice : si quelqu’un pouvait finir ses jours en paix, il aurait dû être celui-là.
Pétri de rigueur, de précision et de compétences, il ne lâchait jamais un morceau qu’il jugeait essentiel, sans pour autant se départir de sa gentillesse même si parfois je le sentais fulminer intérieurement devant certaines extrapolations et divergences. Et quand on devait affronter le duo Jean-Pierre (Ganachau) & Antoine (Batistoni), on avait intérêt à avoir bien préparé son dossier.
Gentillesse : le mot est souvent mal connoté. J’ai pourtant la conviction que cette qualité est plus que jamais nécessaire dans le monde qui vient, Jean-Pierre était la preuve vivante qu’elle est le contraire de la faiblesse. Il en est toujours la preuve, à notre tour de la maintenir vivante.
Mes condoléances à la famille.
Michel Catin
Au revoir Jean-Pierre !.
Nous garderons toujours de toi le souvenir d’un garçon précis et fiable dans son travail , calme et souriant avec ses collègues, pédagogue avec les « jeunes » et grand distillateur de jeux de mots et calembours qui ravissaient les frères de… l’abbaye de Thélème !.. Paris-Normandie avait Jean-Pierre !… en face, il y avait Christian !… On se souvient combien un peu de « second degré » aidait à détendre l’atmosphère parfois tendue autour d’une étude , d’un problème de chantier… et Jean-Pierre était doué dans ce rôle !
Merci Jean-Pierre pour ce que tu était, que nous aimions, et dont nous souviendrons toujours. Nos pensées pour Muriel et Laura.
Alain Marchand
Nous devions en effet, cher Jean Bernard, nous retrouver chez toi et Elisabeth en novembre, avec Jean Pierre et Muriel et lorsque nous sommes arrivés tu nous as annoncé qu’ils ne viendraient pas. L’état de Jean Pierre qui s’était aggravé depuis plusieurs jours imposait une hospitalisation urgente. Nous étions tous les quatre bien déçus de cette absence mais surtout fort inquiets pour notre ami. Nous le savions très touché par la maladie depuis plusieurs années mais espérions que son traitement pourrait lui laisser encore du temps de bonne vie …
J’avais pu lui parler longuement un peu avant son anniversaire – qui était le 28 novembre comme tu me l’avais rappelé – et je l’avais trouvé très disert, très content de parler, ne se plaignant pas un instant de son état mais vitupérant contre les médecins qui – pour de sombres raisons n’ayant rien de médical – ne voulaient pas le lâcher; j’avais trouvé que cette combativité était un bon signe et je me suis trompé….
Je ne me sens pas, excusez moi chers amis, de témoigner de tout ce que nous avons partagé au cours de ces années de notre tête à tête au sein de notre belle agence. Je suis dominé par une profonde tristesse à laquelle se mêlent évidemment bien des souvenirs mais devenus trop confus. J’avais de l’affection pour lui et comme vous, j’admirais sa rigueur et ses qualités de grand ingénieur à la fois expert et polyvalent. (Il n’aurait certainement pas manqué de relever l’oxymore en y ajoutant un de ces calembours dont il était aussi un expert …).
Amitié et respect Jean-Pierre. Condoléances à Muriel et Laura.
Claude Hovart
Adieu mon Jean Pierre
Nos destins se sont croisés. Comme lorsqu’on s’est retrouvé un jour côte à côte aux toilettes d’une station de service sur l’autoroute quand tu rentrais des sports d’hiver et que moi je m’y rendais. On a bien ri quand on a tenté de calculer la probabilité d’une telle rencontre. Quel magnifique sens de l’humour.
Ton intervention sur les appels d’offres du Havre Port 2000 et du Métro de Rennes alors que tu t’apprêtais à partir en retraite a été bien précieuse pour Nord et Ouest.
Mes condoléances à ton épouse et à ta fille. Adieu mon JP.
Laurent Remon
Le départ de Jean Pierre, même prévisible, est dur à digérer… début décembre sa voix était claire, ses réponses humoristiques. Il en avait marre d’être entouré de « vieux » a l’hôpital, avait l’objectif d’en sortir début 2025.
Au détour des témoignages, c’est le même Jean Pierre que nous avons tous côtoyé : technique, rigueur, souci du détail, humour toujours. Heureux le patron de chantier qui réalisait des travaux par lui étudiés. Respect.
Condoléances à Muriel et Laura.
Philippe Lefort
Mon souvenir envers Jean-Pierre est indéfectible, je regrette de ne pas avoir plus travaillé avec lui. C’était une personne sincère et à l’écoute, qui n’hésitait pas à être reconnaissant.
Profond respect pour toi, Jean-Pierre, tous nos souvenirs me reviennent avec cette nouvelle.
Sincères condoléances à son épouse et sa fille.
Raymond et Jacqueline Soler
x
x
Remerciement :